Quand le mariage n'était pas encore d'amour, les obligations de deuil ne semblaient pas convenir à tous. Il n'était point temps d'attendre pour Pierre BOURGET du Marillais.
En effet, en la funeste date du 28 février 1677, Pierre BOURGET enterre la défunte Mathé FOUSCHARD, son épouse, au Marillais. Le lendemain il épouse en la même paroisse du Marillais, Charlotte GUIET, veuve de Jan ABELINE.
j'avais déjà noté que les remariages étaient rapides, mais à ce point là ! le minimum que j'avais trouvé dans mes recherches était de 3 mois, je trouvais ça rapide déjà.... :eek :roll